Mon âme
Mon âme est si lourde, on la croirait empesée
Comme si toutes mes larmes y étaient accrochées
La tristesse quand elle porte un nom
Ça transperce durant tant de saisons
La beauté du monde que tu voyais
Parle-m'en encore peut-être qu'à mon tour je verrais
Toutes les beautés
Que tu as tant de peine à quitter
Parle-moi encore un peu
Je voudrais que le temps soit encore une fois généreux
Qu'il m'offre sans cesse des mots de toi
À défaut d'entendre ta voix
Je sais que tu vas retrouver ceux qui t'ont tant aimé
Je sais que c'est la vie que je ne devrais m'en attrister
Je suis égoïste vois-tu
J'aimerais que tu aies tellement de jour à en être repue
Vas-tu embarquer sur les ailes d'un oiseau
Pour t'envoler vers ce monde que l'on dit plus beau
Et du bout des doigts frôler l'éternité
Te gaver de paysages à en être émerveillé
Bercé par la musique comme des poèmes en vers
Caresser par les arpèges de ta mère
L'ultime voyage
Que l'on fait le jour ou l'on devient sage
Je dois ouvrir mon cœur
Et te laisser enfin flotter vers ton bonheur
Là où la douleur ne sera même plus un souvenir
Là où il n'existe plus d'avenir
Va repose toi
Tu l'as mérité, et jamais on n'oubliera
Mon âme est si lourde, on la croirait empesée
Comme si toutes mes larmes y étaient accrochées
La tristesse quand elle porte un nom
Ça transperce durant tant de saisons
La beauté du monde que tu voyais
Parle-m'en encore peut-être qu'à mon tour je verrais
Toutes les beautés
Que tu as tant de peine à quitter
Parle-moi encore un peu
Je voudrais que le temps soit encore une fois généreux
Qu'il m'offre sans cesse des mots de toi
À défaut d'entendre ta voix
Je sais que tu vas retrouver ceux qui t'ont tant aimé
Je sais que c'est la vie que je ne devrais m'en attrister
Je suis égoïste vois-tu
J'aimerais que tu aies tellement de jour à en être repue
Vas-tu embarquer sur les ailes d'un oiseau
Pour t'envoler vers ce monde que l'on dit plus beau
Et du bout des doigts frôler l'éternité
Te gaver de paysages à en être émerveillé
Bercé par la musique comme des poèmes en vers
Caresser par les arpèges de ta mère
L'ultime voyage
Que l'on fait le jour ou l'on devient sage
Je dois ouvrir mon cœur
Et te laisser enfin flotter vers ton bonheur
Là où la douleur ne sera même plus un souvenir
Là où il n'existe plus d'avenir
Va repose toi
Tu l'as mérité, et jamais on n'oubliera